vendredi 16 mai 2008

A DEMONSTRATION OF ONE

A DEMONSTRATION OF ONE

Layal Abu Rahhal, from MENASSAT, went to Mar Elias street to cover what had been announced as a women's demonstration to say No to civil war. She met with the only woman who answered the call.

Her weapons were a red bucket and a mop. She brought two neighbors with her and set off in search for the women's peace demonstration.
An email had gone out to all the women in the Mar Elias area; her daughter had read about it on MENASSAT.
All the women in Mar Elias were asked to gather next to the Al-Makassed parking lot at 4 p.m. on Tuesday. The invitation said to bring only a bucket and a mop; no political banners were allowed. The goal: to clean up and reopen the Mar Elias road which has been barricaded by opposition forces for the past week.
The lady stood next to the huge dirt barricade with her weapons in her hands: the red bucket and the mop. Her eyes were searching the street for other passionate participants – in vain.
She waited for a minute, then two, then three but to no avail. She wanted to convince herself that she didn't make a mistake by answering the call, even though it was clear that to remove the dirt barricade one needed a truck, not a bucket and a mop.
She refused to have her picture to be taken, saying, "I'm all alone out here." Asked what the situation here has been like in the past few days, she says, "The armed militants spread everywhere and didn't stop shooting."Armed men from both sides? "No, they are from one side. They came to us."
The lady waits for a while. She keeps silent, looking left and right, still hoping that a woman like her, carrying a bucket and a mop, will magically appear from the opposite side of the barricade.
Her neighbor says they should leave. She adds sarcastically, "Tomorrow, when they elect a president, he will come and open it himself."
The lady smiles at the joke. She looks back at the barricade one last time. Then she leaves, taking her bucket and mop with her.
The Mar Elias road remains closed.

mercredi 14 mai 2008

Plus jamais ca. Plus jamais la guerre

A tous nos camarades egyptiens étudiants en journalisme comme nous.

Je vous dis vous avez de la chance de ne pas être libanais, de ne pas connaitre les souffrances que nous ,libanais, connaissons au quotidien. Hier c'etaient les attentats, puis les voitures piégées, Auparavent c'étaient les assassinats de nos leaders politiques(avec au passage quelques libanais innocents). Aujourd'hui c'est une guerre de confession entre musulans qui voient le jour...accompagnée du spectre de la guerre que l'on croyait enfouit.
Une guerre vécue comme une honte par bon nombre de musulmans qui refusent cela.Plus jamais ça. Plus jamais la guerre.

C’était le 13 Février 2008. La société civile manifestait en faveur de la paix, afin que plus jamais les libanais ne revivent l’horreur de la guerre. Un mois plus tard, le 8 Mai 2008, les rues de la ville s’embrasent à nouveau. Les armes refont surface. Le Liban replonge dans la haine, la peur et la guerre civile.

« Au nom de quoi faut-il en arriver là ? Pourquoi devons nous entretuer ? Pourquoi faut-il payer le prix de l’inconscience de nos politiciens ? Toute la colère et la haine se lisent sur le visage de Randa, jeune étudiante chiite à l’Université libanaise de Beyrouth. Révoltée, elle refuse de croire que ses frères de même religion se battent de façon aussi sauvage. Jeune musulmane moderne elle prêchait la tolérance et l’acceptation de l’autre. En un instant tous ses principes ont basculé. Toute la haine a refait surface dans son monde de tolérance. «Ils ont retourné leurs armes contre nous, contre leurs frères, leurs voisins. En 2006 nous étions tellement fiers d’eux. Hassan Nasrallah représentait le Nasser des années 60. Il avait tenu tête à la plus puissante des armées. Ses troupes avaient repoussé les israéliens Aujourd’hui c’est nous l’ennemi, dit-elle avec ironie. Je ne peux pas croire qu’ils ont fait cela. Je ne peux pas croire qu’ils ont tiré sur nos maisons. »
Chiite, elle voulait épouser un chrétien maronite, un peu contre la volonté de ses parents. Mais elle leur avait tenu tête. Pour elle la religion ne devait pas former un obstacle à l’amour. « Après tout nous sommes tous les mêmes enfants de Dieu, disait-elle ». Et pourtant ce jeudi soir, elle en a voulu à ses frères de même sang. Elle a hai ces chiites comme elle. Au bord des larmes elle se remémore l’horreur et la peur de ce fameux jeudi soir.«Ils étaient partout. On les entendait parler, hurler, blasphémer. Ils tiraient des roquettes sur les immeubles. Ils brisaient les vitres des voitures à leur passage. Comme ça juste pour détruire. Ce sont des chiites, comme moi. Mais à mes yeux, ils ne sont plus dignes de porter ce nom. Pourquoi cette haine je ne comprends pas. Nous sommes de la même religion, » répète-t-elle avec une voix brisée par l’émotion. Cinq jours bloqués à la maison, n’osant descendre au bas de l’immeuble pour s’approvisionner. Ils dormaient à cinq dans la même chambre et c’était à plat ventre qu’ils se déplaçaient à l’intérieur de la maison pour aller chercher de la nourriture. « Pourquoi, répétait-elle inlassablement essayant de trouver une réponse à cette question qui la hante depuis cette nuit d’horreur. Quel prix devons-nous encore payer ? »
Pour Rania jeune femme sunnite de la haute société Beyrouthine, c’est le dégoût et la colère qui l’emportent. Elle en veut à l’armée de n’avoir pas voulu les défendre. « Ils voyaient les voyous s’en donner à cœur joie avec leurs mitraillettes parmi les immeubles. Ils étaient là près d’eux et ils n’ont rien fait, s’écrie-t-elle révoltée aux souvenirs de cette fameuse nuit. Ils assistaient à ces batailles qui se déroulaient sous leurs yeux comme s’ils n’étaient pas concernés. Comme si cette guerre ne leur appartenait pas. Pourtant c’est notre armée. Elle est supposée défendre les citoyens. Elle n’a rien fait. »
Elle non plus ne peut admettre que des frères de même religion puissent s’entretuer. «Il faut dire que ces jeunes qui ont tiré font partie de la pire racaille, du pire parti le parti « Amal » connu pour sa cruauté et pour son indiscipline, » dit-elle un peu comme pour chercher encore une excuse.
N’a-t-elle pas eu peur qu’ils viennent s’attaquer à eux les connaissant Sunnite et de surcroît partisan du « Courant du futur » le parti de Saad Hariri le leader sunnite opposé ? « C’est très simple, ironise-t-elle. Je suis de père chiite et de mère Sunnite. S’ils viennent me tuer je leur demanderais de choisir la partie qu’ils voudraient tuer en moi. La sunnite ou la chiite ? »

Des mots qui dépassent les maux. Un mal que l’on pensait enfouit. Et pourtant en un soir tout a basculé. En un instant les vieux démons ont ressurgit entraînant ce pays dans une guerre que tout le monde voulait oublier. « Plus jamais ça, Plus jamais la guerre, » criaient les jeunes toutes confessions confondues. Ils y avaient pourtant cru ce 13 avril 2008. Cela semble si loin… Et pourtant c’était il y a juste un mois…

Lamia Darouni

vendredi 9 mai 2008

appel aux Egyptiens

salut a tous,
Mohammed et moi nous partons en stage au caire en juin et en juillet a l AFP. Pourriez vous nous aider a trouver une chambre a louer pour un mois, ou nous donner des contacts pour cela.

Merci d avance,

Victor Fleury

Et apres on fait quoi?

En ce moment, nous restons tous chez nous devant la télévision. Les gens sortent pour faire des provisions, pour tirer de l’argent, et pour prendre de l’essence. On a passé la journée a appelé nos amis ou a leur parlé sur MSN. Des tirs d’armes légères ou plus lourdes se font entendre tout autour de notre appartement du quartier chrétien d'Achrafiyyé. Notre université était fermée hier, donc on est parti voir de près ce qui se passait. Les rues étaient désertes. Nous n’avons croisé que des militaires et des partisans armés. Il y avait aussi des gravas, des carcasses de voitures et de la fumée noire des pneus qui brûlaient. La ligne de démarcation est réapparue naturellement. Le plus triste dans cette histoire, c’est que la plupart des combattants sont très jeunes. On a l’impression que leurs parents ne leur ont rien transmis de la guerre civile.


Le discours de Saad Hariri vient de se terminer. On se prépare à partir dans le Nord. D’autres souhaitent rejoindre leur famille dans la montagne. La télévision continue de diffuser des images d’affrontements. On se demande ce qui va arriver ensuite, et si on va pouvoir passer nos examens. Dehors, les tirs semblent se calmer, il fait nuit et curieusement il pleut.

Lina Jarrous, Victor Fleury

mardi 29 avril 2008

Sci-fi ou Sci économique???

21-24 Avril 2008

Les amateurs de technologie auraient vécu quatre journées de rêve.
Les défendeurs de l'humanité (avec un grand H) auraient vécu un cauchemar!!!!
La raison: les discours tenus par Rémy LeChampion cette semaine.

"l'économie des médias" ne traite pas seulement d'Economie. On y retrouve aussi le développement de ces médias, leur survie, leur contenu..........

Le cours de M. LeChampion se place entre une version médiatique de "Minority Report" et un documentaire high-tech sur Discovery Channel.

pt +: Rémy Le Champion a une réponse à tout!!!
pt -: Les sujets à traiter, venant tout droit d'une autre galaxie
" LA LONGUE TRAINE" ????????????????????????????
" LA TELE 2.0" ????????????????????????????????????

Patricia Bou Jaoudé Eddé

lundi 21 avril 2008

Semaine "Quotidien"

3e semaine d'avril
Trois journées de « quotidien ». Chaque jour nous devons publier un journal signé par les étudiants DESS. Nous avions une nouvelle rubrique « Grand Beyrouth ». Il s’agissait de faire des reportages sur des quartiers beyrouthins. 2 étudiants font un portrait d’un lieu et d’un personnage précis dans cette place.
C’était vraiment très utile. Plusieurs d’entres nous se sont rendus dans ces quartiers pour la première fois ! Des libanais qui découvrent le Liban…
Wedyane.

Deuxième semaine de la session TV

Interdit de respirer pour ne pas perdre du temps. Travailler 10 heures par jour. Ne jamais s’absenter si vous êtes encore en vie.
Ces règles sont à suivre dans la session TV, ALBA-UL news avec Olivier Michel.
Le DESS de l’université libanaise et l’audio visuel de l’ALBA ont travaillé ensemble pour deux semaines. Les journalistes TV du DESS avaient besoin des techniciens de l’Alba pour avoir des reportages télévisés professionnels.
Un travail fatiguant mais très intéressant. Nous avons vécu l’ambiance d’un journaliste télévision, comme au réel.
Grande tension ! Chaque minute est précieuse à la télé. Le temps est le « sauvage » ennemi du journaliste de l’audio-visuel.
Penser à un sujet à traiter, convaincre le formateur pour qu’il l’accepte, se mettre d’accord avec ton caméraman, aller sur le terrain, tourner le reportage, tout ça dans une même journée. Nous restons plus de 10h à la faculté. « Hier, j’ai rêvé du cours. Je n’ai pas pu dormir. J’étais entrain de penser à un sujet pour le présenter aujourd’hui », réplique une étudiante du DESS.
Oui vraiment ! C’est devenu une obsession.


Le formateur Olivier Michel travaillait toute la journée, sans arrêt. Il suivait le travail de plus de 40 étudiants. Dirige, explique, résout les problèmes, prépare les sujets, corrige les lacunes. Il était génial.
Nous avons passé deux semaines étouffantes. Tout le monde avaient des problèmes. Les étudiants qui travaillent ont eu des « précautions » de leur patron pour leur retard. Les femmes mariées avaient des problèmes avec leurs époux et leurs enfants. Ceux qui habitent loin rentrent à leur maison tard la nuit.
Mais toutes ses difficultés sont dépassées. Trois journaux télévisés avec plus de 10 reportages pour chacun, étaient un résultat satisfaisant. Le fruit de ces 10 jours a remplacé toute la fatigue. Nous étions ravis.


Wedyane.

De L'Orient le Jour

Esraa, une égyptienne arrêtée pour avoir créé un groupe sur Facebook
Esraa Abdel Fatah est une égyptienne de 28 ans qui travaille dans les Ressources Humaines d'une entreprise de technologie d'information au Caire. Le 22 mars dernier, elle a créé un groupe pour la grève du 6 avril sur Facebook.
A retrouver sur le blog de l'Orient.

jeudi 17 avril 2008

Nouveau reportage

Vendredi 4 avril
Changement de programme aujourd'hui, le visionnage des reportages se fera finalement lundi. Pour ceux qui ont déjà terminé le montage , un second reportage les attend. Après mûre réflexion, Bernard, Lina, Ramy et moi décidons de partir au marché aux fleurs. Sur le terrain, l'ambiance est très sympa, nos interviews se passent sans problème et notre odorat est tout en éveil !
A 18h, nous avons fini, le montage se fera lundi.

Sihem.

Le montage...

Jeudi 3 avril
C'est jour de montage aujourd'hui. Après la conférence de rédaction chaque journaliste est acompagné de son monteur. Au studio, les monteurs doivent nettoyer et couper les plans . Avec l'avis des journalistes, on décide quel plan mettre en premier et les interviews les plus importantes. Le journaliste lui, doit écrire le commentaire du reportage, il doit apporter une information supplémentaire à l'image . Le travail fini, il reste à écrire les noms des personnes interviewées et leur titre, malgré des heures et des heures de travail, des problèmes de logiciels, notre premier reportage est un succès !
Sihem.

Premier reportage TV

Mercredi 2 avril
Ce matin, un groupe d'etudiants est parti en reportage TV tandis que la 2de partie est restée faire du commentaire sur image. Je faisais partie de l'équipe de reportage avec mes collègues Mhammad, Ghassan notre cameraman et Pascale. Notre sujet portait sur le danger des chauffards qui roulent vite au Liban avec pour conséquences des accidents mortels. Une journée epuisante puisque nos contacts ont été denichés le jour meme, demain on pourra faire le montage et commenter nos images.
On aura appris aujourd'hui à :
- travailler en equipe
- préparer ses contacts la veille au plus tard
- gérer son temps / anticiper nos déplacements
- toujours flatter les secrétaires
Sihem.

On passe à la pratique !

Mardi 1er avril
On commence la matinée avec une revue de presse. Chacun des etudiants doit présenter les news locales et internationales du jour. Après cela, les etudiants de l'UL et de l'ALBA ont du créer des groupes : 4 journalistes pour 1 caméraman. Le but était de filmer une scène banale de la vie quotidienne en plusieurs plans et de la monter, le tout ne doit pas dépasser 2mn.

Les sujets choisis étaient les suivants :
- la femme pressée qui traverse la route à tout allure
- la femme qui fume une cigarette
- la femme affamée qui mange une man'ouchée
- la femme qui a des reponsabilités
- la femme qui monte sur un toit

Après avoir terminé toutes nos scènes, nous partons les visionner avec le monteur. A partir de là, il faut choisir la scène qui marquera le plus le spectateur, equilibrer le tout avec les plans et si on le souhaite rajouter une musique de fond.Enfin, le travail fini, toute la classe s'est reunie pour visionner nos oeuvres, du rire, de la joie, chacun est fier de son travail.
Sihem.

Session TV : 1er jour

Lundi 31 mars
Ca y est, on l'attendait tous, le premier jour de TV est arrivé ! Exceptionnellement les cours ne se déroulent pas à Tayouné mais à l'université ALBA (Académie Libanaise des Beaux Arts) à Dekouéné. Pour ces 15 jours notre professeur est Olivier Michel, journaliste à la chaine française France 3, le cours de ce matin à servi de conseils sur les techniques de base du reportage vidéo. On saura par exemple qu'un reportage TV porte sur des séquences et des interviews qui dépassent rarement les 2mn. Qu'il existe des règles dans le cadrage de l'image (ne pas filmer une personne dont les yeux regardent en dehors de l'objectif) et qu'il existe plusieurs plans en tv :

- plan large
- plan moyen
- plan américain ( s'arrete à la taille)
- plan serré
- gros plan
- plan en plongée / contre plongée
- plan mouvements ou travelling
- plan panoramique
-zoom in /out
-plan subjectif ( ce que voit la personne)
- plan perspective
- entrée de champ/sortie de champ
- champ/contre champ ( de face ou de dos)

Dynamique aux airs de comique, Olivier a su captiver notre attention aujourd'hui, malgré la fatigue et la faim. Après la pause déjeuner, des étudiants en audiovisuel de l'ALBA sont venus nous rejoindre, ils nous aideront tout au long de cette semaine et serviront de caméramen et de monteurs pour les prochains jours. Chaque groupe de deux etudiants journaliste doit etre accompagné d'un cameraman, partir sur le terrain et en créer un reportage video avec commentaire. Vendredi à 15h, tout doit etre terminé .
Sihem.

dimanche 13 avril 2008

"Une faute d'ingénieur peut causer des centaines de morts"

Mounir RizqAllah est un ingénieur constructeur consultatif qui a conçu aux plusieurs ponts et tunnels du Caire. Il est sûr que la chute des immeubles en Egypte résulte à la fois de problèmes techniques et de la corruption humaine. Entretien.

La chute des immeubles, y compris l'immeuble à Loran à Alexandrie, est récurrente en Egypte. Pourquoi?
Il y a des causes techniques. La plupart de travaux de restauration sont faits négligemment en Egypte, et c'était la cause de la chute d'immeuble à Loran. Souvent on ne fait pas de l'investigation du sol avant de commencer à construire. Parmi les autres raisons sont l'absence de surveillance sur les travaux, violation des instructions, utilisations des matériaux de mauvaise qualité. Puis, le niveau des eaux souterraines est élevé en Egypte à cause du barrage en Haute Egypte. D'autre part, la fuite de l'eau de la canalisation se passe souvent. Il y a une grande pression sur la canalisation à cause de la densité de la population élevée. Puis l'eau détruit le béton.

La fuite de l'eau exerce une influence sur le fondement de tous les immeubles. Mais généralement ce sont les immeubles illégaux ou trop élevés qui tombent. Quelle est la hauteur maximum des bâtiments selon la loi?
Selon la loi, la hauteur de bâtiment ne doit pas dépasser 150% de la largeur de la rue où il se trouve. Mais on trouve plusieurs immeubles élevés dans les rues intérieurs. Ainsi, on arrive à une autre raison des chutes des bâtiments. C'est la corruption humaine. Les prix de la terre ont augmenté et les propriétaires des immeubles ont tentation de construire quelques étages en plus. Un ingénieur consultatif lui dresse le plan d'une construction et l'administration du quartier l'accepte. Dans ce cas, c'est l'ingénieur consultatif qui devient responsable pour l'immeuble. Auparavant, les ingénieurs consultatifs n'existaient pas, mais il y avait des ingénieurs compétents à l'administration du génie du quartier. Ils vérifiaient les plans.

On peut comprendre que le fonctionnaire à l'administration du quartier qui gagne 200 livres par mois a la tentation d'accepter des pots-de-vin. Mais les ingénieurs consultatifs et les entrepreneurs évidemment ne sont pas pauvres. Pourquoi ils risquent de perdre son argent ou même d'être mis en prison?
Ces sont les gens qui risquent. Ils peuvent gagner beaucoup grâce à construction des étages supplémentaires. Puis, la nouvelle génération sous-estime le danger des violations. C'est comme un médecin incompétent. Si le médecin se trompe lors l'opération, un homme peut mourir. Mais une faute d'ingénieur peut causer des centaines de morts. C'est la différence entre les deux. Si un seul pilier en béton est cassé, l'immeuble s'effondre soit complètement ou partiellement.

Est-ce que c'était le cas de bâtiment de Misr International Bank à Roxy?
Oui, ce bâtiment était partiellement tombé en 1999, car les gens on décidé d'élargir un peu la surface. Donc, ils ont cassé un pilier et le bâtiment s'est partiellement effondré. Il fallait aussi évacuer les habitants d'immeuble voisin. Si vous allez à Roxy, vous verrez ce bâtiment tombé.

Détruire et enlever les gravats est plus cher que construire.
Oui, c'est pour cette raison que quand il y a un problème avec un bâtiment quelque part en banlieue, on le laisse. Mais aux certaines quartier du Caire, la terre est devenue très cher. Dans ce cas-là, c'est plus profitable de détruire et construire à nouveau. Mais le bâtiment de Roxy n'est pas détruit jusqu'à maintenant, car il y a des jugements et les gens sont en prison.

Les immeubles en Egypte tombent sans tremblements de terre. Quels sont les dangers dans le cas de tremblement de terre comme en 1992 (le dieu en nous préserve)?
C'est sûr qu'il y a des dangers surtout pour les immeubles qui ont été construits avant 1992. Apres le tremblement de terre de 1992, l'Etat a adopté la loi selon laquelle tous les nouveaux bâtiments doivent supporter les tremblement de terre. Il s'agit d'augmentation de pourcentage de fer dans l'ossature des bâtiments et piliers en béton plus larges.

D'un côté, les entrepreneurs et les ingénieurs violent la loi, de l'autre les gens achètent des appartements dans les bâtiments illégaux, parce qu’ils sont moins chers. Ils économisent un peu d'argent et risquent leurs vies.
Nous habitons dans une société où il n'y a pas de justice sociale. Les gens n'ont pas de logement confortable. Quand ils ont une chance d'avoir un bon appartement abordable, ils deviennent fous. Ils ne pensent plus d'aspects techniques et juridiques.

Est-ce qu'il y a un espoir que nous profiterons de leçons tristes?
Oui. Le comité d'habitat à l'Assemblée du peuple est en train de discuter une loi de l'union des utilisateurs. Selon cette loi les propriétaires deviennent responsables de la sûreté des bâtiments. C'est dangereux quand il y a la fuite de l'eau de tubes. Donc il faut les réparer tout de suite, mais maintenant les propriétaires les laissent couler souvent. Dès que cette loi soit signée, les propriétaires seront responsables devant la justice si ils ne font pas des réparations de l'immeuble.

Propos recueillis par Ramy ElKalyouby

Le jardin d'Al-Azhar: un exemple à suivre

Presque 3 ans après l'ouverture du jardin d'Al-Azhar, il ne cesse de fasciner les cairotes. Mais il ne reflète pas la situation générale à la capitale.

Le quartier populaire de Darrasa. Il y a des déchets partout. Les nettoyeurs balayent la rue sans aucun résultat. L'odeur des moutons: le fête arrive. Mais si on s'éloigne à quelques kilomètres, on se trouvera au jardin de Al-Azhar. Il n'y a pas de papiers sur l'asphalte. Des herbes et fontaines partout. C'est difficile de croire que ce jardin et le quartier de Darrasa se trouvent dans la même ville. Mais c'est surtout difficile d’imaginer que cette hauteur a été une décharge centrale du Caire pendant 500 ans.
"C'était une décharge dès l’époque d'El-Hakem Biamr Ellah jusqu'à 1998", dit Mohamed AbdAllah, le responsable des relations publiques du jardin. Tout a changé en 1998, où les travaux ont commencé. Il fallait utiliser 80 000 camions pour transférer tous ces déchets. Puis, ils ont été recyclés. Le sol sous les déchets a été labouré. Finalement, le jardin a été ouvert pour le public le 25 Mars 2005. Maintenant 3 000 - 4 000 personnes y viennent chaque jour. Ce sont les couples amoureux, qui s'assoient sous les arbres, les élèves, qui manquent la classe, les familles avec des enfants etc.

Pour la nouvelle génération
Le jardin de l'Azhar, n'est pas seulement un endroit où c'est agréable de se promener. C'est un seul lieu au Caire où il y a deux genres de poubelles: des poubelles vertes pour les déchets organiques et les poubelles beiges pour les déchets non organiques. Ca facilite le procès de recyclage et, ainsi, on en profite plus. Si les déchets sont bien triés, la prix d'une tonne peut dépasser mille dollars. Le Caire produit 15 000 tonnes de déchets par jour dont 30% - 40% seulement sont récupérés. Imaginez les dégâts du fisc à cause du manque des usines modernes de recyclage. L'Egypte pourrait profiter d'expérience de pays comme l'Allemagne, où 70% de déchets sont récupérés.
Le jardin d'Al-Azhar contribue quand même à la formation de la génération plus consciente dans les questions des déchets et de l'écologie. On voit ici plusieurs groupes des élèves avec leurs instituteurs. Les rue cairotes restent sales, mais "Les enfants d'aujourd’hui jettent moins de papiers sur le plancher", dit un instituteur Ahmed Gamal.
Le Caire est vraiment une ville des contrastes. On trouve ici des décharges à côté des hôtels cinq étoiles. Les déchets dans la rue ne sont pas seulement la prérogative des quartiers populaires comme Darrasa et Boulaq. On en trouve beaucoup même à Zamalek - le quartier cairote le plus chic. C'est le même cas avec le jardin. Il se trouve entre la cité des morts et le quartier pauvre du Caire ancien. Néanmoins, on peut espérer que la situation au Caire améliorera. "Il y a un autre projet analogue qui est réalisé avec l'aide allemande à Mincheya", dit Mohamed AbdAllah avec fierté.

Les déchets au Caire en pourcentage
65% - les déchets organiques, y compris les légumes et les fruits, le pain et les déchets de la cuisine.
15% - les papiers.
3% - verre.
3% - matière plastique.
3% - tissus.
1% - os.
1% - métaux.
9% - des autres.

Ramy ElKalyouby

Une nouvelle capitale pour l'Egypte: illusions et réalité

Le Caire est une ville très polluée, bloquée et surpeuplé. Plusieurs gens pensent que l'Egypte doit suivre l'exemple de Brésil et Kazakhstan et séparer la capitale économique et celle politique. D'autre part, il y a aussi beaucoup d'autres problèmes qu'il ne faut pas oublier.


2 heures de midi. La rue Kasr ElAini est totalement bloquée. Rien d'étonnant, quelques ministères (la santé, transport etc.) et assemblée du peuple se trouve ici. Cet endroit est connu comme « le carré des ministères ». Donc, il y a des embouteillages le matin quand les fonctionnaires y viennent et aussi quand ils sortent après le travail. Cette image est typique pour le Caire. Avec le niveau élevé de la centralisation, il est devenu impossible de bouger, garer la voiture et même respirer à la capitale égyptienne. Ce n'est pas la vie, c'est plutôt existence. Dans ce contexte-là, la question de la nouvelle capitale administrative devient plus en plus discutable.
En novembre 2006 quelques journaux ont publié l’information que le cabinet des ministres allait étudier le projet de déplacement de certains ministères à ville 6 Octobre. Un an plus tard, le 17 novembre 2007 le chef du conseil consultatif Safwat El-Cherif a déclaré que l'Etat a fini le programme de fondation d'une nouvelle capitale. Mais ensuite Moubarak a dit lors sa visite à Ismaïlia que c'est un projet coûteux et qu’il vaut mieux dépenser cet argent pour la prospérité des pauvres.
L'Etat ne cesse de construire les ponts pour faciliter la circulation dans la capitale. Il y aussi des projets de construction de nouveaux lignes de métro. Mounir RizqAllah est un ingénieur constructeur consultatif qui a conçu aux plusieurs ponts et tunnels du Caire. Selon lui ce n'est plus qu'une solution provisoire et on a vraiment besoin de nouvelle capitale. "C'est comme donner anesthésique à une personne gravement malade au lieu de faire une opération", dit-il. D'autre part, il est sûr que notre gouvernement ne réalisera pas ce projet.
Un autre ingénieur consultatif et urbaniste Hany El-Miniawy croit que la nouvelle capitale est un projet coûteux et lointain. Il vaut mieux contribuer à la décentralisation et le développement de toutes les régions du pays. Selon lui, il faut "développer toutes les régions et encourager les gens à quitter la capitale". Hurghada, Charm El-Cheikh et Marsa Alam sont beaux exemples. Grâce aux villes touristiques l'immigration vers le Caire a déjà baissé. Dans ces ville il y a beaucoup de travail et activité économique. C'est pour cela que plusieurs cairotes ont déjà quitté la capitale pour travailler là-bas. Un autre phénomène même plus important est que les habitants du Sud de l’Egypte immigrent maintenant vers les villes touristiques plutôt que vers le Caire. "Maintenant la population du Caire accroît par 2% seulement par an", dit Marion Séjourné, une géographe au CEDEJ. Cette augmentation est rien par rapport à la rapidité de croissance pendant une dernière trentaine d'années. Comparez : 6.5 million d'habitants en 1975 contre 20 millions maintenant.
La situation économique en Egypte laisse beaucoup à désirer. Le taux de chômage et 9.5%, 44% de population sont pauvres. Est-ce que la nouvelle capitale est la chose la plus nécessaire pour le pays? Combien fait-il des moyens et du temps pour réaliser ce projet? En exposants les concepts de la nouvelle capitale Tarek Talaat Moustafa de PND (Parti national démocratique) a dit que tous les ministères et institutions gouvernementales peuvent successivement être déplacés à la capitale administrative vers 2050. Donc, c'est un projet lointaine et assez abstrait.
Plusieurs pays ont déjà séparé la capitale économique et celle administrative. Par exemple, Brésil. La Corée du Sud a le projet de le faire. Les expertes estiment que ça va coûter le fisc coréen 45 milliards de dollars. Une somme énorme soit pour l'Egypte, soit pour n'importe quel autre pays. C'est équivalent de 150 bibliothèques comme celle d'Alexandrie (!) et même plus cher que le projet de ville touristique Gamsha Bay à mer rouge qui va coûter plus que 30 milliards de dollars. Puis ce projet qui va être réalisé par société émirat Damac sera financé par les investissements étrangers et contribuera à développement économique. Le projet de la nouvelle capitale au contraire sera financée par les contribuables et peut cause la crise économique comme celle de Brésil. Selon spécialiste de l'Amérique latine Maged El-Gidali construction de Brasilia a contribué à développement du pays, mais "le gouvernement brésilien a subi beaucoup de critique parce que le pays a eu un grand dette extérieur", dit-il.

Un rêve qui n'est pas devenu la réalité
Une des rues de El-Sadate

Route le Caire - Alexandrie, tableau: "Alexandrie 139 km.", puis tournant à droit et on arrive à ville El-Sadate. Cette ville a été fondée en 1979 par le président Anwar El-Sadate (c'est normale en Egypte de nommer les villes, les quartiers et stations de métro en l'honneur de président vivant). Il rêvait que cette nouvelle ville devienne capitale administrative de l'Egypte vers 2000. A quoi est cette ville arrivée maintenant?
Avec ces 150 000 d'habitants aujourd'hui El-Sadate est une nouvelle ville typique comme 6 Octobre ou 10 Ramadan. Presque aucun soupçon de faite que c'est une ville qui a été désignée pour devenir la capitale. Oui, presque... Il y a un endroit qui s'appelle "Mugammaa ElWazarat" (complexe des ministères). "C'est un projet très ancien qu'on ne discute plus", s'étonne un piéton après avoir été interrogé comment peut-on arriver à Mugammaa ElWazarat. "Maintenant c'est l'Université d'El-Mounufeya", ajoute-t-il.
Université d'El-Mounoufeya
Université d'El-Mounoufeya a commencé à placer certaines facultés à El-Sadate en 1993. En 2005 ils ont obtenu le statut de filiale indépendant. El-Sadate est une seule nouvelle ville ou il y a une université gouvernementale. Comparée à 6 Octobre El-Sadate est généralement une ville modeste pour la classe moyenne. On trouve à 6 Octobre une université privée chique et des villas qui coûtent des millions. Ici, au contraire, les prix des appartements aux meilleurs quartiers coûtent dès 50 - 60 milles livres.
L'université se trouve au bâtiment qui a été initialement désigné pour être le complexe des ministères. Une seule chose qui en rappelle est le tableau: "Monsieur Mohamed Hosni Moubarak, le président de la république a ouvert le bâtiment de complexe des ministères à ville El-Sadate le mardi 14 octobre 1986".
"On a beaucoup travaillé et reconstruit pour adapter le bâtiments administratif aux besoins académiques", explique Magda Alwany, la responsable des relations publics et medias. Il fallait casser des murs pour que les petits cabinets deviennent salles de cours. Ici on arrive à un autre problème de séparation de la capitale administrative et celle économique. Qu'est-ce qu'on va faire avec tous les immeubles chics des ministères au Caire? La construction de tels immeubles comme celles de lotus de ministère des affaires étrangères sur le Nil, le ministère des finances et l'autorité d'investissement et zones libres à Madinet Nasr a coûté déjà une fortune. Leur reconstruction pour les hôtels par exemple va coûter une autre fortune.
El-Sadate n'est pas devenu la capitale administrative, mais Magda est fière de son président. "Maintenant on discute l'idée de déplacement des ministères hors Caire. Mais Anwar El-Sadate a avancé son temps car il a eu cette idée il y a une trentaine d'années", dit-elle.

L'Egypte est connue d'être un pays avec le niveau de corruption élevé. Etant un pays pauvre ou le revenue annuel moyen ne dépasse une millier d'euros par personne, le gouvernement est très généreuse pour réaliser projet coûteux comme Tochka au Sud de l'Egypte. Tochka est un grand projet de développement de terre qui se trouve entre Aswan et Abu Simbel. Une somme dépassant un milliard de dollars a été dépensée sur ce projet, mais jusqu'à maintenant on n'en voie aucun résultat. Donc, on doit essayer d'imaginer le nombre de gens qui gagneront une fortune pendant la construction de la nouvelle capitale!


Capitale de l'Egypte pendant les périodes différents:
2850 avant J.C. - 2160 avant J.S. - Memfis
2160 avant J.C. - 2120 avant J.C. - Heliopole
2120 avant J.C. - 1700 avant J.C. - Louxor
1700 avant J.C. - 1622 avant J.C. - Avaris
1622 avant J.C. - 730 avant J.C. - Boubast
730 avant J.C. - 398 avant J.C. - Sais
398 avant J.C. - 378 avant J.C. - Mendes
378 avant J.C. - 311 avant J,C. - Memfis
Pendant le période ptolémaïque - Alexandrie
642 – 968 – Foustat
968 - ??? – Le Caire
Quand démissionnera-t-il le Caire ?!


(8600 signes)

Ramy ElKalyouby

mercredi 19 mars 2008

L'homosexualite : regard de la societe Egyptienne

En Egypte, l’homosexualité reste un tabou, pour l’Islam et le christianisme, les deux religions majeures c’est un comportement contre la nature, une maladie psychologique de point de vu médical, et un crime de point de vu juridique.

A Corba, le Caire, et A Starbucks ce café américain, fréquenté par de « High class » Egyptiens, arrive Salma, confiante, habillée a la mode, cette jeune lesbienne a 28 ans, est un dentiste.
« Ce stupide psychologue m’a traité comme une pute, il m’a demandé de raconter comment ca ce passe au lit »explique-t-elle, la jeune femme a été force par une amie pour aller voire un psychologue.
« Je ne suis pas malade, je suis une femme normale qui a choisi d’être avec une femme, je suis différente c’est tout »insiste Salma.
Pour elle «il faut rester discrète ,c’est dangereux d’annoncer l’homosexualité aux amis , au famille ,ou a n’importe qui ,en Egypte les gens comprennent pas et dans leurs yeux les homosexuels sont des malades ,des criminels et des athées»
« On se fait connaissance a travers l’internet c’est la seule porte pour rencontrer ce qui sont comme nous, il y en a beaucoup, plus que tu peux imaginer. » dit-elle.

l’homosexualité reste un tabou, pour l’Islam et le christianisme

En Egypte, des Psychologues ont aborde le sujet d’homosexualité, mais c’est toujours relie à la religion.
Awsam Wasfi, 42 ans, un psychologue chrétien, directeur et fondateur du service « la vie »,
Un service pour aider les personnes qui ont des difficultés psychologiques et sexuel.
Au 2eme et 3 eme étage, Dans un ancien immeuble a Tahrir face au muse Egyptien, se trouve le centre du service « la vie », le centre fait partie de l’église « Kasr el Dobara Envagelical ».
Selon Dr.Wasfi ,la « vie » a aide beaucoup des homosexuels ,a travers le « support group » ou «le groupe de soutien ».
Dans lequel un nombre des homosexuels se rassemblent pour raconter leurs histoires .
Entre le groupe, toutes les différences sont acceptées, pas de place pour les préjuges.
« C’est par l’amour et l’adhésion, qu’on aide l’homosexuel à s’en sortir » affirme Dr.Wasfi dans son livre « guérir par l’amour ».
Le livre est sortit en fin 2007, c’est un recherche dans les raisons de l’homosexualité, et selon le livre, les dangers de cette divergence psychologique sur la société, et comment aider les homosexuels pour guérir.
Dr.Wasfi raconte un témoignage d’un homosexuel dont il a réussi de changer sa sexualité, au bou de 3 ans. Cet homosexuel est marié, et satisfait par sa vie sexuelle avec sa femme.

Malgré, ses efforts et son travail au prés d’une église, Dr.Wasfi a été critiqué par des prêtres et des chrétiens conservatives, car pour eux les homosexuels sont des pervers, il faut les punir et pas les aimer.

En revanche, la sexologue Heba kotb 41 ans, dans sa thèses « Sexualité en Islam » de PhD a Maimonedes University aux USA, affirme que l’homosexualité en Islam est un péché, contre nature, et un crime contre l’autre sexe.
Et que l’Islam condamne l'acte homosexuel et ceux qui le pratiquent.
Kotb aussi a dénoncé, qu’elle a réussi à changer des homosexuels.
Apres 9 a 10 mois, elle a changé leurs sexualités et parmi eux ce qui sont actuellement marié avec des femmes, et ils ont eu des enfants.

Un autre service enligne qui présente l’aide aux gays c’est « problèmes et solutions » sur Islamonline.net, ce site web adhère par les frères musulmans.
Un équipe des conseillers qui sont des psychologues et des Imams, contribuent au service ils répondent aux questions et aux problèmes des musulmans.
Selon l’équipe d’Islamonline, sur le site, des problèmes a propos de l’homosexualité arrivent tous les jours.
Amr Abou Khalil un conseiller d’Islamonline, explique que sa façon pour guérir les homosexuels est de faire la relation entre l’acte et le fait que c’est un péché qui finit avec celui qui commet l'acte a l’enfer.
Dr.Abou Khalil demande à ses malades, de garder un briquet et l’utiliser pour bruler leurs doigts quand ils pensent a l’acte homosexuel.
« ca prend beaucoup de temps, et si la personne n’a pas les motives religieuse pour guérir, ca va pas marcher pour lui » affirme Abou Khalil sur le site.

Aida :« « l’amour n’ est pas un péché »

Ahmed ,30 ans, un gay d’Alexandrie, ne voit aucun problème d’être gay et musulman.
« Les médecins se fatiguent pour trouver des raisons pour l’homosexualité, peut être il y a des raisons, toute comportement humaine a des raisons, mais ce n’est pas forcement que cette comportement soit une maladie psychologique. »explique Ahmed.
« l ‘homosexualité n’est pas une maladie et c’est pas possible de changer la sexualité d’une personne » affirme-t-il.
« je connais un gay , il a décidé de se changer a cause des pressions religieuses et sociales, pendant des années il a lutte contre sa sexualité ,il s’est marrie ,il a eu des enfants, il a laisse sa barbe et il faisait beaucoup des prières, mais a la fin ,ce gay a avoue qu’il n’a rien change de lui, il désire les hommes encore ,mais ce qu’il a fait c’est d’enchainer ses désires et son homosexualité pour Dieu et pour sa famille » ajoutera Ahmed .
« Si j’avais le choix j’aurais choisi d’être hétérosexuel comme tout le monde, être homosexuel est une souffrance.» se lâche le jeune homme.
« Je ne veux pas perdre mes amis ni ma famille, je pourrais plus dire que je suis un gay en Egypte quelque soit le niveau d’éducation d’une personne ou comment il est ouvert »dit le jeune gay

Voilée, mariée avec un enfant Aida 24 ans est une lesbienne.
Dans la famille de Aida toutes les filles doivent se marier jeune, A 18 ans Aida a été force par ses parents à se marier.
Pour elle « l’amour est pas un péché, Allah est juste et ce n’est pas possible qu’Allah me puni parce que j’aime une personne » dit-elle.
Aida explique que « dans cette société ou la virginité a une très grande importance, beaucoup d’Egyptiennes veulent pratiquer les relations sexuelles avant le mariage,
C’est sur qu’avec d’autres femmes elles vont rester vierges pour leur future mari, elles sont pas des lesbiennes mais certaine peuvent continuer a faire ca toutes leur vie.
C’est plus facile de rester entre femmes, la famille Egyptienne n’est pas inquiète quand sa fille habite chez une amie, les gens en Egypte n’imaginent pas ce que pourrait passer entre les filles. » raconte la jeune femme.

Un affaire qui a marque l’introduction de l’homosexualité en Égypte

Dans la code Egyptienne, bien que l'homosexualité ne soit pas officiellement considérée comme un délit, une loi relative à la «débauche» prévoit des peines allant jusqu'à trois ans d'emprisonnement et peut être utilisée pour poursuivre les homosexuels.

Un affaire qui a marque l’introduction de l’homosexualité en Égypte, c’est le procès « Queen boat ».
le 11 mai 2001, 36 hommes ont été arrêtés au Caire sur le Queen Boat, un bateau pour touristes amarré sur le Nil. Le bateau était connu depuis longtemps comme un


Photo :« Les détenus de Queen boat pendant le procès » (Norbert Schiller)

lieu où se retrouvait-la Communauté gay égyptienne.
la police a arrêté arbitrairement beaucoup d’hommes qui n’étaient pas sur le Queen Boat ce 11 mai. Des autre hommes ont été arrêtés des routes, des cafés et de leurs maisons.
En Juillet 2001 dans le procès de l’affaire Queen Boat cinquante-deux hommes ont été soupçonnés d’être homosexuels et inculpés pour immoralité.
Plusieurs détenus ont été déclaré victimes de
torture, ils ont été régulièrement battus pendant toute la durée du procès selon les organisations des droit de l’homme.
Harcelé par les gardes et les autres détenus.

Les journaux Egyptiens, indépendants et officiels ont publié les noms et les professions des cinquante-deux inculpés, montrant parfois leur photo, les yeux barrés d’une bande noire.
En novembre 2001, le tribunal condamne vingt-trois de ces hommes à des peines de prison allant de un à cinq ans.
En mai 2002, Subi aux pressions internationales, le président Moubarak a annulé le jugement du tribunal d’exception. Seuls deux Égyptiens qui ont été accusés d’outrage à la religion restent détenus, les autres sont libérés après quinze mois d’enfermement.

Un seul espoir pour les gays

Une seule association qui présente l’aide au gays, c’est « l’Initiative égyptienne pour les droits de l’individu (EIPR) ».
En 2002 Hossam Bahgat un jeune journaliste a fonde l’association « J’ai commence l’EIPR pour aider les gays juridiquement, pendant le procès de Queen boat toutes les ONG de droits de l’homme ont refuse de défendre les 52 gays, et j’avais été Licencié de l'Organisation égyptienne des droits de l'homme (OEDH) parce que j’ai osé dénoncer, l'attitude passive des associations humanitaires égyptiennes. » dit-il.
« EIPR n’est pas une association de LGBT (Lesbian Gay Bisexuel Transgender) je ne veux pas faire une image d’une association occidentale, par contre ce que je cherche c’est la cause globale pour touts les Egyptiens, c’est les droits de l’individu, ses droit compris les droits de gays et hétéro et n’importe quel personne. » déclare-le directeur de EIPR.
Pour Hossam « le regard des pauvres malades au gays les protège parfois d’être expulsé ou assassiné par quelqu’un de la famille ,et pour changer la mentalité Égyptienne par rapport au gays ca va prendre beaucoup de temps et encore une fois il faut penser globalement. »

Les résultats ci-dessous D’après une enquête
les questions de cette enquête ont été diffusées dans un groupe des gauches Egyptiens
, 70 Egyptiens ont répondu.




Les homosexuels sont :
1 colonne: ils sont malades doivent voire un psychologue. 32 votes
2 eme colonne: ils ne sont pas normaux. 13 votes
3 eme colonne: ils sont dans le péché. 15 votes
4 eme colonne: criminels 3 votes
5 eme colonne :aucun d au dessus. 21 votes


si t’as un ami homosexuel ?
1-je vais jamais lui parler 13%
2-je vais essayer de lui changer 39%
3-rien change pour moi. 49%





L’homosexualité existe en Egypte ?
1-oui 77%
2-non 9%
3-je sais pas 14%


L’homosexualite vient des pays occidentaux ?
1-oui 31%
2-non 50%
-je sais pas 19%


Shahinaz Abdel Salam
Le Caire

mardi 18 mars 2008

"J'adore ma femme et je l'aide dans les tâches domestiques"

Un article de Bernard Rizk, réalisé pendant la session "Magazine"...

Il est mal vu au Liban d'aider son épouse dans les travaux ménagers. Mais les couples sont de plus en plus nombreux où le mari prépare le repas et nettoie le mobilier à la place de "madame".
"L'homme et la femme sont comme deux mains. Elles assurent mutuellement leur hygiène. Les dix doigts de l'épouse et les dix de son mari colmatent tous les trous percés dans le tissu familial. C'est dire que dans le foyer chaque élément du couple joue son rôle ", affirme Elie Kai, homme au foyer depuis 3 ans.
Elie, 40 ans, et Nadia sont mariés et ont deux enfants. L’un et l’autre travaillent et constatent que, si leurs revenus augmentent, leur qualité de vie diminue. Ils font leurs comptes et décident un changement radical. Les revenus de Nadia sont plus élevés, ce sera donc elle qui travaillera à l’extérieur tandis qu’Elie, pour lequel son travail de constructeur ne l'apporte rien, s’occupera de la vie quotidienne. Trois ans plus tard, personne ne regrette ce choix…
"Le code du mariage assigne au mari l'obligation de prendre en charge les besoins de sa femme en nourriture, habillement, soins de santé et autres. En contrepartie, l'épouse lui doit obéissance et respect. Celle-ci veille au bien-être dans le foyer, n'est-ce pas? Chez nous, c'est l'inverse!", explique-t-il en riant.
"Le mari et l'épouse se partagent équitablement les tâches quotidiennes de l'entretien familial dans certains pays occidentaux ", s'écrie Nadia son épouse comme pour défendre son mari.
Les couples Libanais sont de plus en plus nombreux où le mari prépare le repas et fait le ménage à la place de l'épouse. Ils agissent contre la tradition séculaire qui dévolue exclusivement certains travaux à la femme mariée. Celle-ci fait la cuisine, la lessive, le ménage et tous les autres travaux domestiques.
Quelle femme n'a pas au moins une fois éprouvé la frustration de voir son homme prendre d'interminables pauses, alors que le ménage n'était pas encore terminé ? Comment peut-il se permettre d'être aussi détendu, alors qu'il reste tant à faire?

Ils le font par amour
Il faut reconnaître, néanmoins, que même si on les compte sur le bout du doigt, il existe des hommes qui aident leur épouse à exécuter les travaux domestiques. Ils le font par amour. Ils le font par respect pour cet être chéri avec lequel ils sont liés pour le meilleur et le pire. Ils le font pour l'esprit familial fait de solidarité, de compréhension, de convivialité. Ces hommes ont compris que l'épanouissement du foyer ne dépend pas que de la femme. Le mari doit s'y impliquer. Alors les époux attentifs, attentionnés, aux petits soins avec "madame" jusqu'à l'assister dans les travaux ménagers ont du mérite. Ils maintiennent à tous moments la passerelle du dialogue entre le père de famille et la mère de famille. "La parole libère l'esprit et prévient les incompréhensions", s'expliquent Elie et Nadia.
Ces hommes ont compris que l'épanouissement du foyer ne dépend pas que de la femme. Elie trouve toujours le temps d'aider sa femme à faire le ménage. "Quand j'étais célibataire, j'aimais faire le ménage. Actuellement je ne suis pas gêné d'aider ma femme à faire le ménage de temps en temps. Mes amis m'accusent d'être trop gentil avec mon épouse. Je crois qu'ils se trompent largement".

Homme moderne
Le mode de vie au Liban d'aujourd'hui est différent des coutumes familiales de nos ancêtres. Cet homme moderne est convaincu qu'il n'existe plus dans nos familles des "tâches uniquement féminines". Il confesse fièrement que tant qu'il est disponible, il aidera sa femme à exécuter les travaux ménagers. Jamil, l'ami d'Elie, est du même avis. Ce jeune cadre travaillant dans une grande administration est marié à une épouse qui travaille aussi dans une ONG. Le couple se partage les tâches domestiques. Le mari estime que sa femme ne peut pas tout faire toute seule. Il estime que l'épouse "bonne à tout faire" relève d'une époque à jamais révolue. "Je fais la cuisine trois fois dans la semaine. Peu importe ce que les voisins peuvent penser de moi. Je le fais parce que ma femme est trop chargée par son boulot. Je ne peux pas l'obliger à faire l'impossible. J'adore ma femme et je l'aide dans les tâches domestiques".
L'exemple de Jamil est significatif du conflit de génération dans ce domaine. Au départ, il aidait sa femme à balayer la maison, à laver les enfants, à préparer souvent les repas du soir. Sa mère a fini par voir rouge. Elle assimilaitl'empressement de son fils auprès de son épouse à une absence totale d'autorité. Pour ne pas contredire sa mère, Jamil a arrêté d'aider sa femme devant elle. "Si ça ne dépend que de moi, je continuerai à assister ma femme dans ses tâches domestiques devant tout le monde mais je ne veux pas embarrasser maman. Comme nous vivons dans la grande famille, j'ai arrêté sous la pression de ma mère", conclut Jamil.
Contrairement à Jamil, Youssouf Daou a décidé de quitter la grande famille lorsque sa maman et ses soeurs s'étaient opposées qu'il aide sa femme ou même de recruter une aide ménagère pour elle. "Je suis de nature très doux, je ne peux faire du mal à personne. Ma mère et mes soeurs ont réservé tout le travail domestique à ma seule femme. Toute la journée, elle nettoie. La tâche était lourde pour elle. Je l'aidais de temps en temps, mais ma mère était contre. J'ai été obligé de quitter la grande famille", développe-t-il. Le doux Youssouf assure qu'il vit actuellement en parfaite harmonie avec sa femme et qu'il aide toujours sa tendre moitié à bien entretenir le foyer. Il pense que "toute épouse a besoin de la compréhension de son époux pour mieux renforcer le lien conjugal".
Cependant partager les tâches domestiques entre les conjoints ne fait pas l'unanimité dans les causeries d'hommes. Certains estiment qu'il ne sied pas à l'homme de faire le travail de l'épouse à sa place. Nos communautés ont prévu des mécanismes de solidarité familiale pour soulager l'épouse empêtrée dans les tâches domestiques. Il existe toujours dans le cercle familial libanais une cousine, une nièce, une petite ou une grande soeur disponibles pour apporter son soutien.
Ils sont encore nombreux les maris qui soutiennent que travailler à la place de sa femme est une atteinte à notre tradition, notre culture. L'irréductible Sleiman Khalil n'imagine pas qu'il va aider un jour sa femme dans les travaux domestiques. "Je ne suis pas fou. Je ne suis pas un mari faible pour balayer la maison à la place de ma femme. Je lui assure le gîte et le manger. En contrepartie, elle doit s'occuper de la famille", proteste-t-il. Tout comme Samia l'épouse de Sleiman, Betty, sa voisine, considère que la femme est "faite" pour s'occuper du foyer. Sleiman est convaincu que le malheur guette le mari qui s'abaisse à accomplir le travail réservé à la femme. Les valeurs ancestrales interdisent formellement au mari de travailler à la place de son épouse.Il faut aider l'autre dans ses activités. Lui donner un coup de main ou lui donner un avis.

Mentalité rétrograde
Cette mentalité rétrograde a tendance à disparaître dans notre société. La plupart des jeunes sont disposés à aider leur femme. Ils se préparent déjà à cette nouvelle vie comme Roger Akiki. Ce jeune homme est fier de raconter qu'il prépare le dîner pour sa fiancée lorsqu'elle lui rend visite. La majorité dans un autre groupe de jeunes juge que les hommes ont intérêt à changer de mentalité. "Si autrefois les femmes étaient uniquement destinées au foyer, tel n'est pas le cas actuellement", proclame Roger.
Les épouses sont de plus en plus nombreuses à travailler maintenant dans les bureaux ou dans le secteur du commerce. Les couples ne peuvent plus résister longtemps sans l'entraide et la solidarité. Les maris doivent être plus disponibles et courageux pour affronter le vent du changement de comportement dans la vie de couple.

lundi 17 mars 2008

Du 10 au 14 mars 2008 : Cinq jours astronomiques !

Les dénominations françaises des jours de la semaine proviennent pour la plupart des noms latins des planètes. Dans ces cinq jours au DES, j'ai vraiment cru que les planètes ont une certaine influence sur les gens !
Lundi 10 mars: de la Lune !
Les étudiants du DES ne sont pas des mauvais élèves, mais ils sont toujours sur la lune dans les cours du professeur Messarra. Pourquoi ? La réponse est claire. Un cours nommé : "Les institutions politiques au Liban" n'anime pas tout le monde à suivre. Ça ne veut pas dire que la matière n'est pas importante mais les élèves en profitent pour prendre des siestes. Surtout que le calme et la voix douce avec un sourire angélique de M Messarra donnent envie au sommeil.
Mardi 11 mars : de Mars !
Mardi : deuxième jour de la semaine, du nom de Mars, dieu romain de la Guerre. Avec Delphine Minoui, qui nous enseigne l'enquête, c'était le deuxième cours avec elle. Ce jour là était fixé pour que chacun défende son sujet d'enquête dans une conférence de rédaction. C'était sûrement la guerre ! Chacun veut défendre son sujet comme si le sien était le meilleur au monde. Surtout que Delphine a proposé de vendre l'enquête aux journaux et aux revues libanais. Parce qu'elle a été rémunérée pour la sienne quand elle était à l'université. N'oublions pas les trois ou quatre personnes qui se croyaient des références pour la classe. Sur chaque sujet, elles voulaient intervenir et s'enorgueillir qui a le plus grand carnet d'adresses. D'autre part, Nicole, obsédée par les juifs et perdue dans sa documentation, a pris trop de temps à expliquer et développer l'intérêt de son sujet.
Mercredi 12 et Jeudi 13 mars : De Mercure et de Jupiter !
Vu que Mercure est la planète du Système solaire la plus proche du Soleil, Mercredi était un jour très chaud. David Hury, instructeur de la session "secrétariat de rédaction", n'accepte pas le faux. Tout doit être à la perfection. Son objectif est d'avoir "20 maquettes irréprochables!". Qui peut refuser sa demande surtout que les filles du DES et notamment les dames sont effondrées sous le charme irrésistible de ce "beau mec français". Pour elles, David est ce Jupiter de la mythologie romaine. Maître des dieux, Jupiter était adoré en tant que dieu de la Pluie, du Tonnerre et des Éclairs. David est adoré en tant que gentleman. Espérons que ses notes seront aussi charmantes et plaisantes !
Vendredi 14 mars : de Vénus ! Pour la première fois dès le début de l'année, il y avait 14 personnes absentes. Six élèves seulement ont participé au cours de "Traduction". Il est connu que la planète Vénus tourne très lentement sur elle-même (en 243 jours), dans le sens rétrograde. C'est idem pour notre professeur qui ne cesse de tourner autour du bureau. J'ai eu le vertige !
Après cette semaine, ne croyez-vous pas à l'influence et l'effet des planètes sur les gens ? Pensez et méditez, vous le réalisez !
Bernard Rizk

vendredi 7 mars 2008

Le blog de L'Orient le Jour

Chers élèves des filières de journalisme francophone,
Le quotidien L'Orient - Le Jour a créé un blog, intitulé "L'Orient - Le Jour du tac au tac". Celui-ci est l'occasion pour nous d'inviter la jeunesse libanaise, mais pas seulement, à aborder les sujets les plus divers. Nous voudrions profiter de l'excellente formation qui est la vôtre afin d'alimenter notre page et, ainsi, contribuer à faire du Liban une communauté unique et vivante.
Le blog sera en ligne le 11 mars. Vous pouvez visiter le blog à l'adresse suivante: http://bloglorient.com/
Pour poster des articles, des photos ou des vidéo, il suffit d'envoyer un mail à blog@lorientlejour.com
D'avance, nous vous remercions de l'intérêt que vous pourrez porter à cette page,
Les journalistes de la rédaction de L'Orient - Le Jour

Faisons blog commun !

A l'Université du Caire et à l'Université libanaise existent depuis plus de dix ans maintenant deux filières de journalisme francophone. Cette année nous sommes 11 au Caire : Ahmed, Fatma, Ihab, Mavie, Mohamed, Nadia, Pacynthe, Ramy, Sara, Shahinaz et Youssouf.
A Beyrouth nous sommes 20 : Aya, Bernard, Fatmeh, Guitta, Janine, Lamia, Lara, Layal, Lina, Mohammed, Nadia, Nicole, Paradis, Patricia, Randa, Randa, Sahar, Sihem, Victor et Widyan.
Au Caire la formation dure un an, à Beyrouth, depuis cette année, c'est un Master en deux ans. Ces deux filières "jumelles" fonctionnent toutes les deux en partenariat avec l'IFP, l'Institut français de presse de Paris II, et le CFPJ, le Centre de formation et de perfectionnement des journalistes de Paris.
Jusqu'à présent, nous avions chacun notre blog :
Nous avons décidé de faire "blog commun", pour pouvoir échanger, partager, réagir, commenter...